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  • La QVT / QVCT : kesako?

    Depuis quelques années, la qualité de vie au travail (QVT) a pris une grande place au sein des entreprises. Afin qu’elle ne consiste pas simplement à aménager des espaces de détente ou à mettre en œuvre des actions de bien-être sur le lieu de travail, la QVT est devenue le 9 décembre 2020 la QVCT : la qualité de vie et des conditions de travail. Ce changement a été inscrit dans le code du travail le 31 mars 2022 afin de renforcer la prévention santé au travail. Depuis la crise sanitaire de mars 2020, ce pilier RSE est devenu plus que jamais au centre des préoccupations de la fonction RH. Derrière ce nouvel acronyme QVCT, se cache de profonds changements mettant en lumière le lien entre la qualité de vie au travail et la santé au travail. Le salarié est représenté comme un véritable pilier de l’entreprise et son bien-être devient primordial. Cette évolution vers la QVCT a permis de mettre en avant les éléments ayant réellement un impact sur les conditions de travail d’un salarié : la reconnaissance au travail, l’évolution professionnelle, l’égalité au travail, la conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle, le partage de l’information, la conduite des transformations ainsi que la qualité de l’atmosphère. Contrairement à la QVT, la QVCT s’inscrit dans une démarche préventive et non plus réactionnelle : mise en place d’un dialogue social, fidélisation des talents, préservation de la santé mentale et physique des salariés (via la conciergerie en ligne www.zenativ.fr permettant d’alléger la charge mentale, …) Elle œuvre en faveur de l'épanouissement de chacun afin d'éviter le désengagement, les RPS, l'absentéisme voire le turnover. Principaux bénéfices de la QVCT : 1. Véritable levier d’engagement et de lutte contre l’absentéisme et le turnover Plus les salariés sont épanouis au travail, moins ils sont absents. Favorise l’engagement et l’épanouissement professionnel. 2. Meilleure prévention des risques psychosociaux affectant le personnel mais aussi la productivité 3. Valorisation de l’image de marque de l’entreprise pour les jeunes générations, l’équilibre vie professionnelle-vie personnelle est placée au sommet de leurs priorités lors de la recherche d’un poste attire et fidélise les talents Les travailleurs heureux déclarent consacrer 80% de leur semaine à des tâches liées au travail, tandis que les moins heureux ne consacreraient que 40% de leur temps à ces mêmes tâches. Le bien-être du salarié au travail a donc un impact considérable sur les résultats de l’entreprise, raison pour laquelle la QVT / QVCT font désormais partie des enjeux majeurs de l'entreprise.

  • Limiter la procrastination en optimisant son temps au quotidien

    La procrastination Kesako ? La procrastination est la tendance à remettre au lendemain, à ajourner, à temporiser. Ce fameux « je vais le faire » qu’on connait tous, qui ne permet pas de rayer la tâche de la to-do list et qui par contre augmente notre charge mentale . Dire que l’on va effectuer une action signifie devoir désormais penser à ne pas oublier de la faire. Alors oui, « Ne remettons pas à demain ce que nous pouvons faire à la minute même » « Ce qui est fait n’est plus à faire" : cela parait si évident à lire. Etant aujourd’hui sur-stimulés de toute part, il est très facile de se laisser prendre au piège de la procrastination. Toutes les raisons sont toujours bonnes pour remettre à plus tard. On est tous procrastinateur à un moment ou à un autre, abandonnant ce qu’on est en train de faire dès que l’on est stimulés par quelque chose qui nous intéresse. Tout est une question d’intérêt, de plaisir. On associe fréquemment la procrastination à un manque de motivation ou de discipline. Ce n’est pourtant pas nécessairement un défaut que d’être procrastinateur. Cela montre notre curiosité, notre appétence à s’intéresser à ce qui nous entoure, à être ouvert d’esprit : tout nous stimule. Le problème, c’est que cette facilité à procrastiner va avoir un impact conséquent sur notre charge mentale qui va s’en retrouver nettement amplifiée. La procrastination est donc épuisante puisqu’elle implique de devoir penser à tout tout le temps et ne permet jamais à notre cerveau de se reposer. A trop procrastiner, le risque c'est de finir par se sentir submergés, d’avoir des to-do lists à rallonge et donc décourageantes. Le cercle vicieux est alors enclenché : on reporte d’autant plus ces tâches à effectuer que la liste est longue. Il devient alors difficile de se sortir de ce cercle vicieux. On se couche alors épuisé; débordé avec la triste sensation de n’avoir rien fait de la journée alors que l’on n’a pas arrêté. Il existe pourtant des systèmes pour avoir une meilleure gestion du quotidien. Le temps est lié à l'énergie Selon la théorie du Big Bang, l'Univers a eu un début, il y a environ 13,7 milliards d'années. C'est là que le temps aurait commencé, et que l'espace, la matière et l’énergie seraient apparus. Les quatre forces d’interactions universelles auxquelles nous sommes soumis se trouvaient alors fondues en une seule "superforce": la "supergravité" quantique. Temps, espace, matière et énergie étaient indiscernables. Le temps est donc lié à l’énergie, perdre du temps revient à perdre de l’énergie. Si je reporte en permanence une tâche que je sais prioritaire mais qui ne me donne absolument pas envie, alors je vais perdre de l’énergie à devoir y penser constamment et également du temps à devoir la remettre chaque jour sur ma to-do alors que le sujet pourrait être déjà clos. Si justement je renverse la vapeur en mettant de l’énergie dans une idée qui va générer des récompenses hormonales et cérébrales (endorphine, dopamine, etc.), alors je serai naturellement plus enclin à réaliser cette tâche. Si par exemple je me force à exécuter une tâche que je n’aime pas faire juste avant de sortir, alors je la ferai bien plus facilement que si je ne me fixe pas un temps imparti pour l’exécuter et ne prévisualise pas le plaisir obtenu . En somme plus j’amène un côté ludique à ce que je fais et plus j’aurai de probabilité de finaliser une tâche que je juge rébarbative (ex : mettre la musique à fond en rangeant une pièce en désordre, écouter un podcast en épluchant les légumes, profiter d’un temps de marche inexploité pour passer un coup de téléphone pénible, se fixer l’impératif d’avoir finalisé un dossier peu plaisant avant un départ en week-end …). L’idée c’est de trouver du plaisir non seulement à avoir fait mais également à faire donc être dans une énergie positive qui nous encourage à effectuer cette tâche maintenant. Comment ai-je envie d'utiliser mon temps bonus? Le but premier à ne plus procrastiner, c’est de se permettre d’avoir le temps que l’on veut pour faire ce que l’on veut : retrouver une maitrise de son temps. Pour cela il faut prendre conscience de ce dont on a envie et donc s’interroger sur cette réelle envie. Si l’on m’offrait une 25e heure chaque jour en ayant pour seule contrainte que de devoir l’exploiter pleinement dans le but de me sentir bien, à quoi l’utiliserais-je ? Cela nécessite une prise de conscience de ce dont on a vraiment envie. L’exploiter ne veut pas nécessairement dire « faire ». Au contraire, cela peut justement vouloir dire simplement ne rien faire. Juste se poser et apprécier l’instant, méditer et ne plus penser à rien. Libre à chacun de définir sa vision de sa meilleure utilisation de cette heure bonus. En prendre conscience et le noter permet de garder en tête notre vision de l’utilisation optimisée de notre temps. Cela permet de poser le téléphone lorsque l’on prend conscience que cela fait plus de 20 minutes que l’on scrolle bêtement sur Instagram à regarder - entre autres - des couples qu’on ne connait ni d’Eve ni d’Adam découvrir le sexe de leur bébé à naitre! Mais alors par quoi commencer au quotidien pour lutter contre cette procrastination? Pour gagner plus de temps au quotidien et ne plus procrastiner, nous pouvons déjà commencer par l’utilité du geste. Lorsque je me déplace d’une pièce à l’autre, je peux me demander si je n’ai pas quoi que ce soit à rapporter. Ne pas mettre les mains dans ses poches peut paraitre très dérisoire, pourtant cela fait gagner énormément d’énergie. Si je n’ai pas les mains dans les poches alors je vais être plus enclin à ranger ce jouet qui traine au lieu de me dire « je le ferai après ». Par exemple quand je range la chambre des enfants je m’assure de le faire toujours avec des poches. Cela me force à prendre tous les petits objets qui doivent être rangés dans une autre pièce et au fur et à mesure je prends plaisir à voir mes poches se vider. Sans ces poches, je laisse ces petits objets dans le coin « à ranger » qu’on ne range finalement jamais. Et le soir, l’objectif est d’avoir mes poches vidées. Cela libère des hormones du bonheur et va donc encourager mon cerveau à avoir encore envie d’opérer de la sorte jusqu’à ce que cela devienne une véritable habitude bien ancrée. De la même façon, préparer ses affaires en amont demande moins d'énergie et fait baisser la charge mentale. L’anticipation est moins stressante et demande moins d'énergie que la préparation en dernière minute. L’anticipation nous permet d’être focus et donc d’avoir son temps dédié à la tâche alors que la précipitation nous fait penser à 1000 choses en même temps ce qui nous rend contreproductif et nous demande donc plus de temps. L’anticipation permet de reposer le cerveau contrairement à la préparation en dernière minute qui nous impose de devoir penser à ne pas oublier tel ou tel point. De la même façon, préparer 2 repas en même temps nous demande presque 2 fois moins d’énergie que d’en préparer 2 à 2 temps différents : le batch cooking permet de se focaliser sur un type de tâches à la fois et donc - à nouveau - de gagner en efficacité. Une prise de conscience de chaque moment inutilisé doit être effectuée de façon à apprécier cette possibilité que l’on s’octroie à ne rien faire et permettre à son esprit de vagabonder ou au contraire pour dédier des espace-temps à réfléchir à un sujet précis. Quand je m’apprête à prendre l’ascenseur à la défense pour gagner le 28e étage, je sais que j’ai un temps trop court pour pouvoir l’utiliser à autre chose qu'à penser. Alors plutôt que de regarder le plafond péniblement pendant toute la durée de l'ascension, je focalise mon esprit sur une question à laquelle je dois m’apporter des solutions ou au moins réfléchir. Je peux sinon me poser l’objectif de ma journée dans ma tête. Ce temps devient donc créatif il n’est donc plus perdu et il parait très court et absolument pas pénible. Pour ce faire, en attendant l’ascenseur je me demande à quoi j’ai envie de penser pendant mon ascension et je m’y tiens. Cela me permet d’optimiser mon temps et donc de le rentabiliser. Toutes ces petites astuces semblent dérisoires . Pourtant, mises bout à bout, elles peuvent réellement permettre de faire gagner beaucoup de temps ! C’est ce que l’on appelle l’anticipation du futur et la conscience du présent. C'est déjà un premier pas pour lutter contre la procrastination.

  • Et surtout bonnes vacances à toi ma « petite » charge mentale !

    La charge mentale ne prend pas de vacances Après une année intense où la charge mentale est permanente, les vacances ont enfin sonné! La période du ralentissement, de la pause de la vie rythmée par les activités des petits et des grands, du break des devoirs à rendre à l’école, du beau temps qui met tout le monde en joie, des longues soirées dehors à juste profiter, bref même sans partir bien loin, cette période estivale où tout est au ralenti : elle fait du bien. Mais il y en a une qu'on aimerait bien voir partir en vacances pour profiter encore mieux : c’est cette vilaine charge mentale. A peine l’année scolaire terminée que les rayons scolaires des magasins nous rappellent la bonne petite liste des fournitures scolaires à ne pas oublier… ce qui nous fait penser aux activités pas encore réservées, ha tiens du coup aux certificats à demander au docteur, et du coup aux rdv à prendre chez le Dr, à la nounou qui rentre de vacances 3 semaines après la rentrée car elle ne peut jamais faire comme tout le monde, ha mais aussi au tri qu’on devait faire dans les vêtements et puis tiens cette vieille caisse « à trier » qu’on s’était gardée pour cet été quand « on aurait le temps »… Franchement quand on a enfin le temps de prendre un peu notre temps, qui commence par aller chercher la vieille caisse « A trier » au fond de la cave ? Et ce petit départ en vacances tant attendu… On en parle ? Déjà, quand le lieu est trouvé, ouf on souffle un peu : tous les critères réunis, y'a plus qu'à! Sauf qu'accessoirement tout le reste de l’orga reste à faire, surtout quand les enfants sont tout petits et que niveau logistique, mieux vaut prévoir avoir le cerveau bien reposé (ce qui ne peut pourtant rarement être le cas avec des enfants tout petits soyons honnêtes…). Et si on déménage, allons bon, un petit déménagement en plus, le changement d’école des enfants pas toujours validé avant l’été… suspens pour un sujet aussi important ! Et leur bien-être dans nos petites têtes de parents… Nos enfants vont-ils s’adapter, s’acclimater ? Ou nous le ressortir dans 37 ans au moment de la bûche à Noël? Et de toute façon la livraison de la future maison en est déjà à 6 mois de retard, doubles charges à payer, tellement de stress à encaisser… Le promoteur qui ne répond plus, et puis l’artisan qui appelle pour demander si c’est normal que dans la cuisine il n’y ait aucune prise de prévue pour la future cuisine. Une cuisine sans prise électrique, ça paraissait pourtant évident. Le genre de questions qui met en confiance pour la suite et qui nous prouve qu'on peut dormir sur nos 2 oreilles… Et puis si on est étudiant, on se projette dans une ville qu’on ne connait parfois pas encore, on cherche un appart, un job pour payer ses études, job qui forcement demandera de la souplesse niveau horaires alors que ses horaires de la fac on ne les connaitra qu’une fois le job commencé. Sans parler de la paperasse administrative qu’on découvre et qui peut vite submerger ou avoir des conséquences quand un oubli ou une erreur arrive. Et puis si on a un enfant extraordinaire, forcément s’ajoutent toutes ces questions autour de la rentrée et de la bonne intégration de son enfant, des difficultés que chaque rentrée scolaire représente et de toute la paperasse qui se rajoute, sans parler de tous ces cigles si simples (AEEH, MDPH…)... Et puis si tout simplement, on est enfin arrivés à la retraite bien méritée, après une vie active intense, mais qu’on se rend compte qu’en ne se tenant pas informé de l’évolution des systèmes, des services, des procédures, on peut vite se laisser dépasser et noyer dans ce puits d’informations permanentes. Notre cerveau ne peut toujours pas juste se mettre au repos et profiter des siens. Et puis il va falloir commencer par se renseigner sur ces fameux CPF qui semblent valoir de l’or... Cela va faire 14 fois depuis ce matin qu’on nous annonce que visiblement on a gagné un compte CPF à utiliser urgemment. La retraite s’annonce encore plus agréable ! Sans parler de toute la charge mentale supportée quand on connait la maladie chronique… Et là c’est un vrai combat au quotidien - vacances ou pas - en plus de celui de la maladie, gestion organisationnelle, pratique, toutes ces adaptations nécessaires … Tout le monde est concerné par la charge mentale Pour résumer la charge mentale concerne TOUT LE MONDE, les hommes, les femmes, les parents d'un enfant ou de 10 enfants, les parents de singletons ou de multiples, tous celleux qui n'ont pas d'enfant, les jeunes, les moins jeunes, les actifs, les non actifs, les couples, les célibataires, les riches, les moins riches, TOUT LE MONDE. Les chiffres montrent qu’au sein des familles, la charge mentale serait supportée en majorité par les femmes (Emma en a d'ailleurs fait une BD très drôle!). Heureusement cela évolue beaucoup et nombre d'hommes se font un point d'honneur à partager équitablement ce travail invisible. Aussi la charge mentale touche TOUS LES UNIVERS et n'apparait pas que dans la sphère de la parentalité, loin de là. Alors oui, on rêverait de pouvoir la mettre dans un avion direction Jakarta, au moins le temps de cette période estivale, mais la charge mentale ne veut jamais prendre de vacances, hélas. Alors prendre conscience de sa charge mentale, qui est invisible aux autres sauf à nous, c’est déjà le premier pas vers un mieux vivre. Prendre conscience de sa charge mentale élevée, c'est se permettre de pouvoir trouver des solutions pour la diminuer et ainsi se diriger vers une vie plus sereine.

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